Les chercheurs et les historiens ont surnommé le dernier siècle le Siècle américain, et je pense qu’il ne fait aucun doute que le Conseil des relations étrangères a contribué à le rendre tel.

Spencer Abraham, un politicien américain influent, a fait cette déclaration en reconnaissance du rôle significatif du Conseil des relations étrangères (CFR) dans la formation du siècle des États-Unis dernier. Le contexte de cette citation réside dans la perception importante du siècle américain, un terme inventé par le rédacteur en chef du magazine Time Henry Luce en 1941. Il fait référence à la période de la domination et du leadership mondiaux américains qui ont émergé après la Seconde Guerre mondiale. Les universitaires et les historiens ont largement utilisé ce terme pour décrire le 20e siècle, créditant les États-Unis pour son influence économique, militaire et culturelle dans le monde.

L’affirmation d’Abraham reflète sa croyance en l’influence significative du Conseil sur les relations étrangères dans les réalisations de l’Amérique au cours du 20e siècle. Le CFR est un groupe de réflexion indépendant et non partisan et une organisation d’adhésion qui vise à analyser et à proposer des solutions de politique étrangère. Il a eu une influence sur la formation de la politique étrangère américaine et la promotion de la compréhension des questions internationales.

En ce qui concerne les contributions de Spencer Abraham à la politique américaine, il a eu une carrière remarquable. Il a été membre du Parti républicain et a notamment occupé divers postes gouvernementaux. Abraham a représenté le Michigan au Sénat américain de 1995 à 2001. Pendant son séjour au Sénat, il s’est concentré sur des questions telles que l’énergie, la prolifération nucléaire et les relations étrangères. Il a également été secrétaire à l’énergie américain de 2001 à 2005 sous le président George W. Bush. Dans ce rôle, Abraham a joué un rôle central dans l’élaboration des politiques énergétiques du pays pendant une période cruciale.

La citation d’Abraham reflète sa reconnaissance de l’impact du Conseil sur les relations étrangères sur l’influence mondiale américaine, s’alignant sur le sentiment dominant du siècle américain. Ses propres contributions à la politique américaine, en particulier dans les domaines de l’énergie et des relations étrangères, mettent en valeur son engagement à faire progresser les intérêts de la nation et à relever les défis critiques.