Très souvent, la loi de l’extrême exige une attention à l’irrélevance.

La citation de Janet Frame, «Très souvent, la loi de l’extrémité exige une attention à la non-pertinence», reflète sa perspective unique sur la vie et la créativité. Le contexte de cette citation découle de ses propres expériences personnelles avec la maladie mentale et des pressions sociétales auxquelles elle a été confrontée en tant qu’écrivain.

Janet Frame, né en 1924 à Dunedin, en Nouvelle-Zélande, est considéré comme l’un des romanciers les plus célèbres et les plus influents de la Nouvelle-Zélande. Malgré de nombreux défis tout au long de sa vie, notamment des diagnostics erronés de schizophrénie et d’être institutionnalisés pendant près d’une décennie, Frame a ensuite apporté une contribution significative à la littérature néo-zélandaise.

Ses romans ont souvent exploré les thèmes de l’identité, de l’isolement et de la non-conformité. Le style d’écriture de Frame a été caractérisé par sa prose lyrique et ses descriptions vives, ce qui lui a permis de captiver les lecteurs et de plonger dans les profondeurs de l’expérience humaine. La citation en question indique sa conviction que les circonstances parfois extraordinaires et les émotions extrêmes nécessitent une attention aux détails apparemment hors de propos. Cela suggère qu’en se concentrant sur les aspects apparemment insignifiants de la vie, on peut trouver une compréhension plus profonde de soi et du monde.

Le premier roman de Frame, “Owls Do Cry”, a été publié en 1957 et a été acclamé critique pour son exploration de la maladie mentale et son impact sur les relations familiales. Elle a remporté de nombreuses distinctions tout au long de sa carrière, y compris l’honneur littéraire la plus élevée de la Nouvelle-Zélande, le prix des écrivains du Commonwealth. La remarquable trilogie de romans autobiographiques de Frame, “To the Is-Land”, “An Angel à ma table” et “L’envoyé de Mirror City”, détaille ses difficultés de maladie mentale, son temps dans les institutions psychiatriques et son voyage vers soi -Discède et expression créative.

Les contributions de Janet Frame à la littérature néo-zélandaise s’étendent au-delà de ses romans. Elle a également écrit de la poésie, des nouvelles, des pièces de théâtre et des livres pour enfants, présentant sa polyvalence en tant qu’écrivain. Ses œuvres ont souvent contesté les normes sociétales et ont fait la lumière sur les voix marginalisées, ce qui en fait une figure influente dans le paysage littéraire néo-zélandais.

En conclusion, la citation de Janet Frame reflète sa capacité à trouver un sens et une pertinence dans des endroits inattendus. Grâce à ses propres expériences personnelles et à ses réalisations littéraires, elle a démontré à quel point les circonstances et les émotions extrêmes peuvent conduire à des informations profondes. Les contributions de Janet Frame à la littérature néo-zélandaise ont laissé une marque indélébile, des générations inspirantes d’écrivains et de lecteurs avec sa narration unique et empathique.