Voici mon principe : Les taxes doivent être prélevées en fonction de la capacité de payer. C’est le seul principe américain.

Franklin D. Roosevelt a été le 32e président des États-Unis, au service de 1933 à 1945. Il a fait cette déclaration sur les taxes dans un discours prononcé le 26 octobre 1935, lors de son deuxième mandat en tant que président. Le FDR croyait au principe de la fiscalité progressive, ce qui signifiait que les individus ayant des revenus plus élevés devraient supporter un fardeau fiscal plus élevé que ceux qui ont des revenus plus bas. Cette croyance a été enracinée dans son engagement à lutter contre les inégalités des revenus et à assurer une économie équitable.

Tout au long de sa présidence, Roosevelt a mis en œuvre un large éventail de politiques et d’initiatives pour lutter contre la Grande Dépression et élever le peuple américain. L’une de ses contributions les plus importantes a été le New Deal, une série de programmes qui visaient à soulager, la reprise et la réforme. Ces programmes comprenaient des mesures telles que la création du système de sécurité sociale, la création de la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) et la mise en œuvre de projets de travail public comme le Civilian Conservation Corps.

La direction de Roosevelt s’est étendue au-delà du front intérieur, en particulier pendant la Seconde Guerre mondiale. Après l’attaque de Pearl Harbor en 1941, il a conduit la nation à travers le conflit en tant que commandant en chef, se dirigeant des États-Unis vers la victoire. Sa politique étrangère a également joué un rôle crucial dans la formation du monde d’après-guerre, car il a joué un rôle déterminant dans la création des Nations Unies.

Dans l’ensemble, les contributions de Franklin D. Roosevelt en tant que président ont été essentielles dans la transformation de la société américaine et la solidification du rôle du gouvernement fédéral pour assurer la stabilité économique et la protection sociale. Son engagement envers la fiscalité progressiste reflète sa vision d’une société équitable et juste, où chacun contribue en fonction de sa capacité à payer.